[Le Cimetière des livres oubliés]T2: Le jeu de l’ange

Titre: Le jeu de l’ange

Auteur: Carlos Ruiz Zafon

Biographie: Carlos Ruiz Zafon est né le 25 septembre 1964 à Barcelone. Il a écrit son premier roman (de 500 pages) à l’âge de 14 ans. Il fait une brève carrière dans la publicité qu’il quitte pour publier son premier roman le prince de la brume. En 2004, il a reçu le prix « Femina » pour son roman l’Ombre du vent qui est le premier tome du cycle du « Cimetière des livres oubliés. »Carlos Ruiz Zafon est décédé d’un cancer le 29 septembre 2020.

Résumé: Dans la turbulente Barcelone des années 1920, David, un jeune écrivain hanté par un amour impossible, reçoit l’offre inespérée d’un mystérieux éditeur : écrire un livre comme il n’en a jamais existé, « une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d’être tués », en échange d’une fortune et, peut-être, de beaucoup plus.
Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique de destruction se met en place autour de lui, menaçant les êtres qu’il aime le plus au monde. En moyennant son talent d’écrivain, David aurait-il vendu son âme au diable ?

J’aime toujours autant l’atmosphère qui se dégage des livres de Carlos Ruiz Zafon, mais je n’ai pas tellement apprécié celui-ci. Autant, il y avait du potentiel mais je suis restée bloquée des mois sur cette lecture. Le livre est juste trop long, il y a plein de passages inutiles.

J’ai bien aimé David Martin et voir la mère de Daniel (personnage principal du premier tome), Isabella, était intéressant. Un sacré caractère qu’elle avait. J’ai beaucoup aimé leur amitié. Ce qui est marquant c’est que le père de Daniel est toujours aussi effacé, bien qu’il n’apparaisse pas beaucoup, il n’a aucune scène vraiment marquante.

J’ai apprécié le livre jusqu’à vers l’arrivée d’Isabella mais ensuite j’ai perdu le fil de l’histoire. Cette intrigue avec le manuscrit et l’éditeur c’était vraiment bien trouvé. Et puis c’est parti en cacahuète.

L’auteur s’est vraiment dispersé, il y a beaucoup de personnages inutiles, je pense aux policiers notamment. On ne sait pas trop ce que veut David Martin dans sa vie. Et puis la fin est vraiment chelou, en fait je n’ai pas compris. Surtout l’implication de cette fin.

Rien à voir avec le premier tome, ce livre se tient uniquement grâce au talent d’écriture de l’auteur. Et ça freiné mon enthousiasme pour la suite de ce cycle.